tag:blogger.com,1999:blog-6888110879936988583.post7810321447728195570..comments2014-01-09T14:57:52.432+01:00Comments on Le vilain petit canard: Guerre ou paix ?Unknownnoreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-6888110879936988583.post-61266648636849849322007-10-25T09:00:00.000+02:002007-10-25T09:00:00.000+02:00Un grand merci au commentateur précédent. Je comme...Un grand merci au commentateur précédent. Je commençais à m’inquiéter de l’absence de remarque : personne ne venait-il sur le blog ? — Il faut que je trouve un compteur de visites.<BR/><BR/>En fait, je suis bien d’accord avec ce commentaire. Il complète très utilement mon texte (le court format des blogs force à être très synthétique, et donc parfois trop schématique).<BR/><BR/>J’ajouterais : ne confondons pas tolérance et faiblesse ou lâcheté. La tolérance, c’est admettre que l’autre est différent et que cette différence apporte une richesse. On commence par l’écouter et prendre ce qu’il y a de bon dans ce qu’il dit. <BR/><BR/>Mais il y a des limites : si on constate que l’individu est dangereux pour lui-même ou pour les autres (la liberté de chacun s’arrête à la liberté des autres), on essaiera d'abord de le raisonner et de le faire rentrer dans le droit chemin. Si cela ne fonctionne pas, il faut le sanctionner sans faiblesse, et cela le plus tôt possible, afin que la situation ne se dégrade pas.<BR/><BR/>Prenons l’exemple d’une classe : le professeur doit accepter les élèves de toute race, de toute religion et de toutes opinions. Il ne doit également pas faire passer ses idées politiques dans son enseignement. C’est la tolérance. <BR/><BR/>Supposons toutefois qu’un élève chahute trop et empêche la classe de travailler. Le professeur doit réagir avec fermeté le plus tôt possible, avant que le désordre ne se répande. C’est la fermeté. Ce ne serait pas de la tolérance que d’être indulgent avec le chahuteur, car cela nuirait à tous les autres. Ce serait de la faiblesse.<BR/><BR/>Ceci dit, je suis bien d’accord que ce n’est pas facile. Concernant l’exemple du nazisme, de l’Iran, etc… , dès qu’on estime qu’il y a danger, c’est de la faiblesse que de ne rien faire, et non de la tolérance. Ce n’est effectivement pas facile : il est infiniment plus difficile de prévenir la guerre que de la faire. C’est pour cela qu’il nous faut valoriser les premiers et non plus les capitaines.<BR/><BR/>Quand à commencer par répandre la paix et la tolérance dans son entourage, qui pourrait être en désaccord ?<BR/><BR/>Merci encore au commentateur, en espérant qu’il n’est que le premier d’une longue liste… <BR/><BR/>Le vilain petit canardAnonymoushttps://www.blogger.com/profile/11590940119674675126noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6888110879936988583.post-91528986647404317602007-10-24T11:38:00.000+02:002007-10-24T11:38:00.000+02:00Bravo Vilain canard !Toutefois il y a une petite c...Bravo Vilain canard !<BR/>Toutefois il y a une petite contradiction dans tes propos : tu dis : Roosevelt, Churchill et compagnie auraient dû intervenir plus tôt pour mettre hors d'état de nuire HITLER avant qu'il ne sévisse...et ailleurs tu dis qu'il faut être tolérant avec les autres et prôner la paix...or c'est sans doute parce qu'ils ont été trop tolérants (ou du moins attentistes) avec HITLER qu'on leur reproche de n'avoir pu éviter la guerre mondiale...<BR/>C'est toujours le même problème en Histoire : il est beaucoup plus facile de prévoir le passé que l'avenir et il est toujours un peu faux de juger une époque avec les lunettes d'aujourd'hui (car forcément on a un avantage incomparable par rapport aux dirigeants de cette période, c'est qu'on connaît la "fin du film")...<BR/>Le même problème se posant d'ailleurs aujourd'hui face à l'IRAN ou la Corée du Nord etc...faut-il être patient ou leur rentrer dans le lard tout de suite au risque d'être accusés de va t'en guerre... ?<BR/>C'est toujours le risque avec la paix, pour la faire il faut être deux et on ne connait que partiellement les intentions et les réactions de l'adversaire.<BR/>Je crois que les grands discours généreux sur la paix échouent toujours; comment être crédible alors que la guerre est partout dans nos entreprises (rivalités), dans nos villages (querelles de voisinage) et dans nos familles (divorces, séparations).<BR/>Au fond, sans faire de prosélytisme, c'est la religion (catholique ou autre...) qui a trouvé la bonne formule : nous devons commencer à faire la paix dans notre entourage immédiat (notre prochain) si on veut la répandre dans le monde, sinon, c'est mission impossible car la guerre n'est que la continuation au niveau mondiale de ces petits conflits locaux...Anonymousnoreply@blogger.com