Emprisonnées dans leurs djellabas sombres,
Sans cheveux ni poitrine ni formes
Suivant docilement leur homme
Tout en dedans, rien au dehors
vit la femme islamiste
sans droits, sans joies, sans liberté
Derrière elles se dressent dans le noir
Les spectres des victimes de la charia
Amputés, torturés, suppliciés
Femmes infidèles, croyants mécréants
Ombres sans nom des sauvages de Dieu
Proscrits, oubliés, sans mémoires
La machine à remonter le temps est en marche
La barbarie renaît
Les fantômes d’Attila et des Huns
Hantent notre monde à nouveau
Tristes aboutissements du progrès
Sans sagesse l’homme n’est décidément rien.
Le Vilain Petit Canard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire