samedi 27 février 2010

Maximes d'entreprises

Un bon après-vente est un bon avant-vente

Celui qui fait participer les salariés aux succès d’aujourd’hui prépare les succès de demain.

Un dirigeant qui n’écoute pas est aveugle

C’est la qualité qui fait vendre. La publicité est uniquement l’affiche sur la porte.

En affaire, le chemin gagnant est celui du cœur

Mettre en place un monopole, c’est lui céder la direction des opérations.

Corriger ses défauts, c’est améliorer ses qualités

Anticiper, c’est gagner

La bonne stratégie ? Suivre les clients mais devancer les concurrents

Pour bien manager, il faut comprendre les motivations de ses collaborateurs ; pour bien comprendre leurs motivations, il faut savoir se mettre à leur place et voir le monde avec leurs yeux.

Celui qui sème la zizanie chez ses collaborateurs récolte la désobéissance

Celui qui ne reconnaît pas les efforts de ses collaborateurs les stoppe

L’entreprise sans éthique ni valeurs est une fusée sans carburant

Une bonne image ne se crée par, elle se construit

Mécontenter le personnel, c’est se condamner soi-même à la première crise

Qui ne garde pas de réserves suffisantes coulera à la première crise

L’entreprise qui ne soigne pas ses clients se maltraite elle-même

La personne qui n’aime pas son travail s’ennuie le tiers de sa vie

Motiver le personnel, c’est simplement faire attention à lui

Pour bien communiquer avec quelqu’un, Il faut s’imaginer à sa place

Le bon manager est celui qui sait évaluer chacun à sa juste valeur.

Dans une entreprise il ne faut écrire que l’indispensable, le reste ne sera pas lu

Dans un débat, chacun détient une parcelle de la vérité, mais seule l’addition de toutes ces parcelles permet de se rapprocher de « LA » vérité.

Dans un conflit, pour gagner, il faut convaincre autant par les émotions et les intérêts que par la justesse des idées

L’incertitude est le cadre normal de toute action

L’écoute des autres est le meilleur moyen de gagner leur confiance

Le bon commercial n’est pas celui qui vend mais celui qui sait gagner la confiance de ses clients

Anticiper un problème, c’est le résoudre à 90 %

Celui qui ne raisonne pas par rapport à la réalité des faits est sûr de se tromper

Le patron indélicat justifie les indélicatesses de ses salariés, un salarié déviant encourage son patron à abuser de la situation.

La protection sociale doit trouver un juste équilibre : trop de protection tue le dynamisme et l’adaptation des entreprises aux marchés, pas assez démotive et fait partir les meilleurs.

Le Vilain Petit Canard

Maximes de la vie courante

La lutte

Qui se voit déjà gagnant est déjà presque sûr de perdre.

Si tu veux gagner : avant : prépare tout pour ne pas perdre, pendant : ne pense qu’à gagner, après : pense à ton prochain combat.

Si tu veux gagner pense toujours à ce que tu risques si tu perds.

Un ennemi vexé ou humilié en vaut deux.

Le vaincu que tu humilies aujourd’hui est ton prochain vainqueur.

Le bonheur

L’homme heureux est celui qui sait accepter le malheur

Le bonheur consiste à savoir se contenter de ce qu’on a. Ne pas s’en satisfaire ne change rien à la réalité et ne sert qu’à se rendre malheureux.

Le bonheur n’est pas une réalité mais un sentiment qu’on se bâtit soi-même.

Le bonheur et le malheur sont simplement deux perceptions différentes de la même réalité.

L’homme heureux est celui qui veut être heureux.

Le bonheur est simplement une capacité personnelle.

Le pauvre est souvent plus heureux que le riche.

Celui qui veut tout tout de suite ignore le prix de l’effort.

Pour l’insatisfait, rien ne va.

Celui qui se plaint de tout le monde est en réalité mécontent de lui-même

Les vieux

Une société qui ne respecte pas ses vieux repart à zéro à chaque décès.

Une société qui ne respecte pas ses vieux ne sait pas d'où elle vient ni où elle va.

Une société équilibrée s’appuie à la fois sur la force de ses jeunes et sur l’expérience de ses plus âgés. Si l’un de ces piliers fait défaut, elle boîte.

Un jeune qui n’écoute pas les vieux se prépare à renouveler leurs échecs.

La valeur personnelle

Les personnes peu jolies sont souvent les plus intelligentes et les plus serviables : elles y sont forcées pour compenser leur handicap social.

Un vrai ami vous accepte avec vos défauts et vous loue quand vous êtes absent.
Un faux ami vous flatte quand vous êtes là et vous dénigre dès que vous avez le dos tourné.

Un visage sans rides cache un cœur sans pitié.

L’arrogance est le signe de la médiocrité. L’arrogant cache ainsi sa bêtise, le compétent n’a pas besoin d’être arrogant pour s’imposer.

La modestie est le signe de la compétence.

Le trop modeste est deux fois dans l’erreur : il sous-estime ses propres limites et surestime celles des autres.

Celui qui se sent très fort ignore en réalité ses faiblesses.

Qui exige beaucoup des autres en fait souvent peu lui-même.

Confiance et défiance

On peut avoir confiance dans celui qui est toujours à l’heure.

Ponctualité et sens du devoir sont sœurs jumelles

La confiance développe, la défiance restreint

Le jeu

Qui sait s’arrêter à temps gagne au jeu.

La chance va à celui qui sait réellement jouer.

Le chanceux est celui qui sort d’une longue série de malchances.

La malchance porte en elle l’espoir des prochaines chances.

Le joueur ne perd jamais totalement, il gagne au moins le plaisir de trembler pour sa mise.

Le bon joueur est celui qui s’arrête lorsqu’il gagne
Le joueur fou est celui qui ne s’arrête que ruiné.

Ce n’est pas le gain qui récompense le vrai joueur, mais le plaisir de trembler pour ses mises.

Le stress est au jeu ce que les épices sont à la cuisine.

Le jeu c’est l’incertitude, l’incertitude c’est le stress, le stress c’est l’oubli, l’oubli c’est le bonheur quand on est dans les ennuis

Le jeu est la drogue de celui qui ne veut pas se droguer.

Un jeu où on gagne toujours ennuie rapidement.

Un bon jeu fait perdre souvent et gagner rarement : s’il fait perdre trop souvent il décourage, s’il fait gagner trop souvent ce n’est plus un jeu mais une source de revenu.

Celui qui perd sa fortune au jeu n’était pas fait pour être riche.

Théorie et pratique

Les grandes idées font les grandes erreurs.

Les grandes idées obscurcissent la pensée et lui font quitter la réalité

Les grandes idées conduisent vite au sectarisme et à l’intolérance.

Ami, reste sur le terrain, tu y trouveras la vérité.

Les grandes idées doivent être constamment validées et adaptées aux réalités


Le Vilain Petit Canard

lundi 15 février 2010

Une poupée est morte ce matin

Une poupée est morte ce matin
Une fleur séchée étiolée dans sa main
Une poupée est morte ce matin
Son regard vide suppliant en vain

Sous le ciel lugubre des espoirs morts
La poupée git dans le froid des corps morts
Sous le ciel lugubre des espoirs morts
Les enfants perdus pleurent de remord

Son gai sourire sur ses joues se glace
Muette supplique à la mort qui l’enlace
Son gai sourire sur ses joues se glace
Sa plainte hurlante remplit l’espace

Fille de feu, fille de paix et d’amour
Je vais mourir à la chute du jour
Fille de feu, fille de paix et d’amour
Et nous serons réunis pour toujours

LVPC

mercredi 3 février 2010

Folies du monde

Événement passé inaperçu mais lourd de conséquences : La cour suprême des États-Unis vient de supprimer le plafonnement des dons des entreprises dans les campagnes électorales. Ainsi les milliardaires mégalomanes américains et les banquiers véreux de Wall-Street vont-ils pouvoir faire tranquillement élire leurs candidats, tant ce sont toujours ceux qui ont le plus d’argent qui sont élus aux States. Les nouveaux BUSCH arrivent…

MALI : Al-Qaida menace d’exécuter l’humanitaire Pierre Camatte qu’elle a enlevé et qui s'occupait notamment de la culture d'une plante thérapeutique contre le paludisme. Cette nébuleuse, qui se dit défendre le monde musulman, continue de révéler au grand jour qu’elle n’est qu’une bande d’assassins sans courage et sans religion.

IRAN : les sauvages qui sont au pouvoir poursuivent le massacre de leurs opposants. Encore un bel exemple de religiosité. Brrr !

Et le monde poursuit sa course folle, sur fond de mal absolu…

Le Vilain Petit Canard

lundi 1 février 2010

Les Villepinades du jour


Actualité :
Suite à son renvoi en appel dans l’affaire CLEARSTREAM, De Villepin accuse le procureur Jean-Claude MARIN d’avoir pris ses instructions directement de l’Elysée.

Il est curieux que, dans cette histoire, les motivations ne collent pas aux actes :

Bien sûr que Jean-Louis GERGORIN et Imad LAHOUD ont voulu démolir SARKO alors qu’ils n’en retirent aucun profit. Juste pour s’amuser et risquer quelques mois de prison. Ils doivent aimer vivre à la dure !

Villepin, quand à lui, principal bénéficiaire potentiel de la manipulation, n’a bien sûr rien fait.

Bien sûr que SARKO a exigé que VILLEPIN soit rejugé, alors qu’il peut tout craindre du prolongement de cette affaire, qui continue à fournir une tribune au second et à le faire passer pour victime.

Bien sûr que Jean-Claude MARIN a eu tort de faire appel. Il aurait mieux valu que les deux autres protagonistes, qui ont écopé de lourdes peines, soient jugés sans VILLEPIN. Ils auraient ainsi pu lui mettre tout sur le dos. Le rendu de justice aurait été plus facile !

Bien sûr que tout le monde sait que les politiques se refusent à tout coup tordu envers leurs adversaires et, encore plus, envers leurs amis. Bien sûr que, lorsqu’ils le font tout de même, ils gardent des traces écrites afin de pouvoir prouver leur culpabilité.

Bien sur, M. de VILLEPIN….

Félicitations ! Vous êtes un vrai modèle : Vous êtes innocenté faute de preuve et vous n’avez pas la simple décence d’admettre l’évidence, ce que tout le monde comprendrait.

Il vaut bien mieux laisser emprisonner les autres !

LVPC

L'auteur

Ces articles sont écrits par Christian DOUCET ccdt@cegetel.net