mercredi 27 novembre 2013

Coucher, oui, mais librement !


 
Voilà un sujet que je comprends mal. De tous temps il y a eu des prostitué(e)s, de tous temps ils/elles ont été socialement condamné(e)s (les « putes »), de tous temps les esprits « bien-pensants » ont érigé des lois pour les éradiquer et, de tous temps ils/elles ont persisté.

Moi, petit canard pas très futé, j’en déduis que cela correspond à un besoin fort de l’humanité, comme le besoin de manger ou de rire.

Et je me dis qu’une loi ne fera qu’aggraver la situation : rendre les prostituées encore plus cachées et plus maltraitées (sans doute sur des bateaux au large, dans des pays limitrophes, dans des caches loin des villes...). Peut-on empêcher la pluie de tomber ?

Si on me consultait, je proposerais d’aggraver fortement les peines contre ceux qui exploitent les canettes qui leur sont tombés entre les pattes ainsi que de faciliter les dépôts de plaintes et les dénonciations.

Si les cannettes veulent monnayer leur corps, que ce soit librement et loin des malfaisants.

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L'auteur

Ces articles sont écrits par Christian DOUCET ccdt@cegetel.net