dimanche 23 octobre 2011

Maximes (synthèse des différentes maximes passées et compléments au 19/10/2011)


Conduite personnelle : La relation avec les autres

La relation humaine est un jeu de miroirs : je t’aime si tu m’aimes, je t’aide si tu m’aides

Lorsque tu rencontres des difficultés avec les autres, commence par te remettre en cause toi-même

Celui qui aime les autres finit par se faire aimer par eux.

Pour être aimé, il faut commencer par s’aimer soi-même, mais n’aimer que soi, c’est se condamner à ne pas l'être par les autres.

La solitude est belle lorsqu’elle ne dure pas

Entre deux êtres qui se parlent, le plus important est le non-dit

Respecter les autres permet de se faire respecter soi-même

Pourquoi ceux qui veulent imposer aux autres leur propre loi acceptent-ils si mal de suivre la loi des autres ?

Pourquoi ceux qui veulent imposer aux autres leur propre loi ne les suivent-ils pas eux-mêmes ?

La vieillesse

La vieillesse est tolérable à condition de rester jeune d’esprit et de ne pas être malade.

Le bonheur

Le bonheur est une illusion qui nous protège du malheur

Le bonheur est simple comme le parfum des fleurs et la beauté du ciel

Penses à chaque nouveau jour comme à une nouvelle aventure

Apprendre à apprécier les verres à moitié plein, c’est apprendre à être heureux

Pourquoi vivre si on n’aime pas ? Celui qui n’aime plus meurt avant de mourir.

Vis heureux pour mourir heureux

L’argent est utile au bonheur, mais pouvoir s’en passer est encore mieux

La dépression

La dépression est un désespoir qui dure.

La famille

Une famille unie vaut tous les amis

Dans un couple, l’amour consiste à s’adapter aux défauts de l’autre.

Un couple qui se sépare est un malheur qui grandit

L’intelligence

L’instinct est l’intelligence du corps

L’instinct n’est rien d’autre qu’une grande pratique qui s’est transformée en automatisme

Ce ne sont pas les imbéciles qui sont les plus bêtes

Bon sens et forte instruction font rarement bon ménage

Les pires des imbéciles sont ceux qui se croient intelligents

Celui qui pense que les autres sont des idiots l’est davantage qu’eux

L’intelligence de l’homme le rend souvent plus bête et plus abject que les autres animaux

Prend modèle sur tes amis animaux et tu gagneras en intelligence.

L’humour est à l’intelligence ce que les bulles sont au champagne.

Le sommeil

Les rêves sont la toilette de l’esprit et les cauchemars sont sa purge.

Lorsque, la nuit, tu ne dors pas, rêves à tes envies

La paresse

La paresse est une grande liberté : celle de ne rien faire

meteo

Vent d’ouest pluie prochaine ; vent du nord froid polaire ; vent d’est sécheresse ; vent du sud canicule

La planète

Rien de tel pour celui qui se prend au sérieux que d’observer une nuit le lent cheminement des étoiles. Il comprend alors qu’il n’est qu’un infime pion posé sur une petite boule qui fonce sans bruit dans l’espace. Tous les projets que nous jugeons si importants perdent alors leur urgence.

Rien de tel pour celui qui pollue que de contempler l’horizon de la mer. Sa rotondité toute proche lui prouve alors immédiatement l’extrême petitesse et la fragilité du monde qu’il massacre.

L’homme sage s’inspire de l’infiniment grand pour comprendre sa juste place dans l’univers et la place infime qu’il occupe dans la nature alors qu’il s’en croit le centre..

Les femmes et les hommes

Ce sont toujours les femmes les plus minces qui se plaignent d’être trop grosses, pour le simple plaisir de s’entendre dire qu’elles ne le sont pas.

Ce sont toujours les femmes les plus corpulentes qui se serrent dans de vêtements trop petits

L’un des rôles fondamentaux de l’homme vis-à-vis de la femme est de la faire rire. L’un des rôles fondamentaux de la femme vis-à-vis de l’homme est de le faire enrager.

Une femme sans homme s’ennuie, un homme sans femme dépérit.

Temps de paix femme libérée, temps de tempête homme aux manettes

La femme sans homme est une orchidée sans tuteur, un homme sans femme est un tuteur sans son orchidée.
La religion

Le malheur des religions, c’est de croire en un Dieu. Elles quittent alors la raison pour la crédulité et tous les excès deviennent possibles.

Oui à une religion sans Dieu et qui croirait en l’homme.

La religion n’est utile que tant qu’elle en reste à la morale. Ensuite, elle devient dangereuse.

L’homme a besoin de la religion : Il est intelligent et vindicatif, à ce titre, il a besoin de comprendre le monde pour se sentir en sécurité et trouver sa paix intérieure. Il attribue alors tout ce qu’il ne s’explique pas à la divinité et lui demande de régler ce qu’il ne maîtrise pas. Dieu est le complément de nos ignorances et de nos impuissances.

Le grand malentendu de la religion, c’est de confondre l’âme et l’esprit. L’homme a le fort sentiment, avec raison, qu’il n’est pas que matière. Mais ce qu’il appelle l’« âme » n’est rien d’autre que le fonctionnement immatériel de son cerveau, au travers du réseau infiniment complexe des neurones et des synapses.

La meilleure preuve de la non-existence de Dieu est la permanence des lois de la nature. Si Dieu existait et agissait sur notre monde comme le pensent les religions, des non-respects des lois de la causalité et de la physique auraient été relevées. Or il n’en est rien…

Le Vilain Petit Canard

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L'auteur

Ces articles sont écrits par Christian DOUCET ccdt@cegetel.net